1983 De Jean Robert-Charrier

Date

ven 28 juin 21h30

sam 29 juin 21h30

Lieu

Château du Plessis-Macé

Heure

1h30

tarif

10 à 32€

handi
ouie
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Metteur en scène

Jean Robert-Charrier

Résumé

Des épaulettes, des brushings, des paillettes, Chantal Ladesou, un vieux qui meurt et un téléphone à roulette… Tous les ingrédients pour le retour du Boulevard au Festival d’Anjou !
En 1983, après un succès fulgurant dans l’univers de la mode, Michèle Davidson décide de se couper totalement du monde – quelques mois seulement – pour retrouver l’inspiration.
Sauf qu’on est en 2022 et qu’elle est toujours enfermée…
Sa découverte de notre époque actuelle sera un véritable choc des cultures avec les années 80.

 

CRITIQUES PRESSE

« L’auteur de ce boulevard désopilant et énergique fait rire tout en invitant à réfléchir sur nos compulsions moutonnières dans le monde virtuel. » Télérama

« Décor fou, Chantal Ladesou s’en donne à coeur joie… Fous rires assurés. » Elle

 

 

Distribution

De Jean Robert-Charrier
Mise en scène Jean Robert-Charrier
Avec Chantal Ladesou, Dominique Daguier, Clémence Ansault, Michel Ansault, Mélanie Lemoine et Sabine Moindrot
Assistante à la mise en scène Adèle Royné
Collaboration artistique Guillaume Morin
Scénographie James Brandily
Lumière Marius Rorhbach
Costumes Marie Caponi
Son Yoann Blanchar, Thélonius Bouvet

Production Théâtre de la Porte-Saint-Martin

Crédits photos  Jean-Louis Fernandez

Note d'intention

« La première fois que j’ai vu Chantal Ladesou dans une pièce de théâtre, je suis arrivé en retard. J’ai couru à m’en décrocher un poumon, je suis arrivé suant et essoufflé au théâtre, je me suis installé dans la salle alors que le spectacle avait déjà commencé.
Comme tout boulevard qui se respecte, il laissait le temps d’une grande scène d’ouverture avant que la vedette n’entre en scène. Par chance donc, Ladesou n’était pas encore sur le plateau. Et puis j’ai entendu sa voix, off. Au premier son la salle était hilare.
Et puis j’ai vu son ombre apparaître et enfin son corps. C’est ça Ladesou. Une voix, une ombre, un corps.
Ladesou a su créer un personnage unique. Une sorte de clown chic, dégingandé et puissant. C’est une erreur de la comparer à Maillan. Ladesou ne se compare pas à d’autres reines du Boulevard. C’est pour cette raison qu’il faut lui écrire des pièces sur mesure. Qu’il faut s’acharner à fondre le rythme des répliques dans celui de sa propre horloge interne. Écrire pour Ladesou c’est accepter que son tempo sera toujours le roi.
Ladesou c’est un monument national que les spectateurs viennent visiter et revisiter avec des attentes très précises. Ils se souviennent précisément des émotions qu’ils ont vécues la première fois et ils veulent que cela recommence. C’est ça le point commun entre Ladesou et les années 80 d’ailleurs. »

Jean Robert-Charrier

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